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Jean-Michel Béchard pratique une profession passionnante; il enseigne le français aux personnes immigrantes. Tous les jours, du lundi au vendredi, il se rend dans différentes entreprises pour rencontrer des travailleurs et des travailleuses et leur apprendre à parler français.
Des hommes, des femmes et des langues. Voilà ce que l’on pourrait dire si l’on devait décrire Vêtements Peerless en quelques mots. Ils et elles sont près d’un millier, venant d’un peu partout à travers le monde, répartis sur deux quarts de travail, à confectionner des complets, vestons sport ou pantalons haut de gamme pour hommes et garçons dont la plus grande partie de la production est destinée au marché américain.
« J’enseigne le français afin de participer à la démarche d’intégration des nouveaux arrivants. Mon cours porte sur la langue française, mais aussi sur la vie québécoise au quotidien et sur notre culture. Du même coup, j’en apprends beaucoup sur les autres cultures, c’est très enrichissant. »
« Ma profession, c’est ma passion. J’adore enseigner le français et participer au succès de mes étudiants. Je suis très fière d’eux. »
« J’apprends le français pour mon quotidien, pour ma vie, mon travail, mes enfants. »
« J’apprends le français pour mieux communiquer avec mes collègues et pour mieux fonctionner dans mon milieu de travail. »
« L’apprentissage de la langue française est très important pour moi, pour mon intégration, mes études et mon travail. »
« J’apprends le français pour mon travail et pour ma vie au quotidien. »
« Pour moi, c’était évident qu’en immigrant au Québec je devais apprendre le français. Je le fais pour moi, pour ma culture et pour mon intégration. À la maison, je parle fréquemment français avec les enfants. »
« Apprendre le français me donne la confiance dont j’ai besoin pour m’exprimer dans mon milieu de travail et dans mon quotidien. Je suis très contente d’avoir la chance d’assister à ces cours. »
« Pour moi, l’apprentissage du français c’est un premier pas vers mon intégration à la société québécoise. La langue, c’est le moyen de connaître le pays, la culture, l’histoire et les gens. »
« C’est très important pour moi d’apprendre le français. Aujourd’hui, je peux communiquer avec mes collègues de travail sans difficulté. »
« J’habite au Québec depuis plus de 30 ans. Je n’ai jamais eu la chance de bien apprendre le français. Assister à ces cours me donne enfin cette opportunité. »
« Si je veux vivre et travailler au Québec, c’est mon devoir d’apprendre le français. »
« Maintenant que j’ai appris le français, je suis en mesure d’aider mes enfants à faire leurs devoirs et de participer pleinement à ma nouvelle vie au Québec. »
« J’apprends le français pour mieux m’intégrer à la société québécoise, pour ma famille, pour mes enfants et pour moi. »
« J’apprends le français pour réaliser mes rêves; poursuivre mes études et trouver un emploi qui correspond à mes compétences. La connaissance du français me donne confiance et permet de m’exprimer sans dépendre de personne. Je suis maintenant en mesure de participer aux discussions et de communiquer avec les gens qui m’entourent. »
« Lors de mon arrivée de la Grèce, en 1972, j’avais 13 ans et mon plus grand désir était d’aller à l’école. Mais je n’ai pas eu d’autre choix que celui d’intégrer rapidement le marché du travail. Comme j’ai toujours été à l’emploi d’entreprises dont les propriétaires étaient grecs, je n’ai jamais eu besoin d’apprendre le français. Aujourd’hui, je me rends compte que la connaissance du français est incontournable si je veux vraiment participer à la vie québécoise et aussi y prendre ma place. »
Arrivée de Turquie il y a trois ans, Kubra avait l’espoir de pouvoir exercer son métier d’éducatrice en garderie. « Parce que j’ai été obligé de travailler en arrivant et que je ne parlais pas français, je me suis retrouvée ici comme trieuse. Tout compte fait, c’est une chance qui m’est donnée d’apprendre le français sur les lieux de travail. Ainsi, je pourrai poursuivre mes études et exercer à nouveau mon métier. »
« Je travaille ici depuis 2008 comme trieuse. J’ai un grand besoin d’apprendre le français parce que je veux être en mesure, par exemple, d’expliquer au médecin ce qui ne va pas sans avoir à faire appel à mes enfants ou à une autre personne. J’ai aussi bien hâte de pouvoir lire le journal pour être mieux informée de ce qui se passe au Québec. »